Nora Lebbos – Nor –

J’adore cette période. C’est le moment de se pencher sur ce qui a été appris durant cette année.

Il y a eu des moments difficiles qui m’ont certainement fait évoluer plus rapidement en me rendant compte des schémas de pensées dont j’étais prisonnière.

Les schémas avec lesquels on baigne depuis le plus jeune âge, ces idées et modèles reçus qu’on nous impose inconsciemment car c’est « la manière de vivre ». Ce n’est pas tant le cercle familial mais plutôt l’imaginaire schizophrène et ultra conditionné de la société des institutions et pensées rigides.

J’ai certainement encore du travail à ce niveau-là, mais combien j’ai entamé des changements salutaires. Mon souhait est d’être libre. Et la liberté passe par la déconstruction de tous les schémas qui annihilent la liberté même. Le champ des possibilités est illimité. La vie est illimitée et il n’y a certainement pas une seule voie.

Voici ce que la vie m’a démontrée de sa générosité cette année :

L’édition du récit poétique Astar par Hello (ici et sur toutes les plateformes en ligne et chez vos libraires sur commande).

Mes dessins et tableaux figurent dans trois magazines d’Art:

Le magazine volume 5 de la No Name Collective Gallery publie généreusement une interview, des dessins et tableaux. Pour lire en ligne c’est ici ou commander le magazine c’est ici

Le magazine volume 15 de Suboart magazine a sélectionné trois de mes dessins pour son magazine de décembre 2023. Pour commander le magazine c’est ici

Enfin, le magazine The Purposeful Mayonnaise a sélectionné deux de mes créations, un dessin et un tableau pour son magazine de décembre n. 3.4. Pour le découvrir, c’est ici

À ces formidables publications, s’ajoute la chance d’avoir témoigné de mon parcours dans un article publié par l’Agenda Culturel (magazine francophone d’événements culturels au Liban) c’est ici.

Je suis infiniment consciente de l’abondance et de la beauté de cette existence.

Je partage ces réalisations par amour, car je suis fière d’elles. C’est le résultat de travail et de confiance, je salue ces manifestations et j’appelle à beaucoup d’autres réussites encore, avec affirmation et excitation.

C’est ce que je nous souhaite. Dans ce monde partagé où des gouvernements et peuples vivent la tête à l’envers, où il y a encore des guerres abjectes et absurdes. Je prie pour ces soldats qui commettent les crimes pensés par des personnes sous cape et aux intérêts vils. Pour la région du Moyen-Orient, cette région du Monde si riche et meurtrie à répétition.

Je nous souhaite d’avoir le courage de notre beauté, de notre liberté et de notre justice. Le courage de la joie et de l’abondance contre les illusions de précarité, de peur et terreur. Ouvrons donc ensemble les yeux et coupons court.

Gratitude donc. Gratitude pour toi qui me lis en ce moment. Pour toi qui lis mes romans, les partage et investis dans mes dessins et tableaux. Je suis infiniment reconnaissante de te connaitre, en pensée ou physiquement.

Je mets ma baguette magique ici même 💫 pour que tes vœux de lumière se réalisent.

Semons ensemble l’amour, la confiance et la générosité. Tout nous reviendra.

Car donner c’est recevoir et recevoir c’est donner.

J’ai des cadeaux pour vous 🥰

Cette vidéo d’affirmations positives de la grande Louise Hay (j’écoute l’original en anglais avec la voix de Louise Hay mais j’ai trouvé cette version en français).

La lecture audio du livre culte : The game of life and how to play it de Florence Scovel Shinn. (la version française est certainement sur youtube)

Musique (je suis en mode good vibes nostalgiques) :

Envie de films romances nostalgiques ? Regardons ensemble à nouveau : ‘Ghost’, ‘Cry baby‘, ‘Edward aux mains d’argent‘ 💞

Et je finirais par deux extraits du cycle unique et divin (malheureusement pas de film à la hauteur) de Dune de Frank Herbert :

« Et il eut la vision d’une armure. Elle n’était pas sa propre peau, elle était plus solide que le plastacier. Rien ne pouvait pénétrer cette armure, ni le couteau, ni le poison, ni le sable pas même la poussière du désert ou sa chaleur desséchante. Dans sa main droite, il enserrait la puissance de la tempête Coriolis, il pouvait faire trembler la terre et l’éroder jusqu’à la nudité. Ses yeux étaient fixés sur le Sentier d’Or et, dans sa main gauche était le sceptre du pouvoir absolu. Au-delà du Sentier d’Or, ses yeux voyaient l’éternité, et il savait que l’éternité était la nourriture de son âme et de sa chair éternelle. » – Heighia, le Rêve de mon Frère, d’après Le Livre de Ghanima. (Extrait Dune volume 4. Les enfants de Dune)

« Je ne connais pas la peur, car la peur tue l’esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l’oblitération totale. J’affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu’elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n’y aura plus rien. Rien que moi. »

Plus que de la fiction, ces extraits ont en eux une vérité intemporelle. C’est pour cela que Dune est extraordinaire.

Je vous souhaite de belles fêtes, magnifiques, sublimes et magiques ! Célébrons la joie et la beauté, soyons les véritables rebelles contre ce que les guerres, les aveuglements et les peurs veulent nous faire croire sur l’humain.

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Grandissons ensemble 🤍

Vive la Liberté ! Vive la Création !